Bonjour amis lecteurs !
Aujourd’hui 4 Mai 2021, j’ai désormais 40 ans et un jour et je vous rassure, je le vis plutôt bien 😊
Au menu de notre belle journée : la Baie de Somme !
Départ de Cayeux-sur-Mer à 9:30 sous la grisaille et avec un très fort vent d’Ouest.

Nous empruntons la Route Blanche, connue pour être … blanche 😅

A la fin de cette roue, nous bifurquons vers l’Est et nous enfonçons dans la baie. Nous nous arrêtons au gré des paysages. Entre terre et mer, faune et flore, le paysage est magnifique.

Le vent nous pousse. Rapidement nous découvrons Saint-Velery-sur-Somme. Enfin rapidement, rapidement… une fois que les moutons voudront bien nous laisser passer ! 😂

Le temps d’une visite de cette belle cite médiévale, de prendre de quoi faire un bon pique-nique, et c’est reparti !

Alors, amis lecteurs, une fois n’est pas coutume, mais aujourd’hui je tiens à pousser un coup de gueule. Oui, un coup de gueule !
En effet, lors de nos petites pauses et excursions en Baie de Somme, nous nous apercevons que le plastique est bien présent. Et ce n’est pas le plastique dont nous parle Elmer Food Beat dans sa légendaire Le Plastique c’est Fantastique !
A tel point que le lieu qui nous semblait idéal pour une pause pique-nique ressemblait plus à une décharge qu’à une réserve naturelle ! 😫
Je n’ai pas l’audace d’en publier la photo, mais c’est à pleurer ! Juste envie de 🤬
Très vite, malgré le vent d’Ouest qui désormais est de face et malgré ses bourrasques à 100km/h, nous trouvons un autre site pour le pique-nique.
Cette pause nous permet de profiter d’une belle vue sur le Le Crotoy, même s’il nous est impossible de trouver un endroit à l’abri du vent.

Il ne reste « plus qu’à traverser la digue », autant vous dire qu’avec le vent, on fait des pointes à 4km/h ! 😅

Enfin, nous arrivons au Crotoy. Il est 15:00, nous avons largement le temps d’une balade en bord de mer.

Il est temps de nous offrir le réconfort, après l’effort 😋

Le temps de profiter d’un splendide coucher de soleil et au dodo ! 😴

En bref : une courte étape d’une trentaine de kilomètres, entre terre et mer, faune et flore, et qui, malgré mon coup de gueule, reste une étape assez exceptionnelle !